Trees bend:
It is stronger, louder than anything.
Clinging to the branches,
The air seems too sweet.
In the crushed grass, counting my regrets.
Match cracked and everything goes up in smoke.
While the fields are burning
I expect that my tears are coming,
And when the plain waves
That nothing ever reach me ...
That night we kissed without speaking.
Around us, the world might collapse.
The hollow eyes, dust in their hair.
Throughout my legs, caressed by the fire.
While the fields are burning
I expect that my tears are coming,
And when the plain waves
That nothing ever reach me ...
Chers Riophiles et Bresilophiles !
ReplyDeleteJe crois que vous êtes un peu perplexes avec ma vidéo ... :)
C'est juste pour préciser que c'est une complainte pour RIO et le Brésil.
Quand c'est à la une sur le Brésil, c'est RIO qui revient avec ses violences.
( Certaines photos de la vidéo viennent de Paris-Match il y a 2/3 semaines ).
Ce n'est plus le romantique "RIO le Brésil une nuit d'été ..." de Dalida.
C'est plus tôt maintenant "RIO le Brésil encore un jour de violence ..."
A part ça j'adore cette chanson !
Je viens te rendre une petite visite et te dire que le calme (apparent) et revenu à Rio. Très à propos ta chanson et bonne traduction. Les rats s'enfuient là où ils se sentent en sécurité et continuent leur ratafia de mafia.
ReplyDeleteOn a vécu des moments intenses indirectement àla téle bien sûr pendant une semaine. Les hélicoptères lourds de l'armée tournaient au-dessus de notre quartier à basse altitude. car les trafficants s'étaient enfuis de leur favelaet réfugiés dans la montagne au-dessus de chez nous.Ça me rappelait la guerre d'algérie dans mon enfance. J'ai écrit un nouveau post en français une méditation sur le printemps éternel du coeur de Dieu. Tu me manques, mon ami. Affectueusement, Jean-Louis.